Maçonnerie

Aujourd'hui encore, je m'interroge  sur cette entreprise : était-elle responsable des malfaçons ou seulement victîme des négligences de l'architecte qui ont suivi le sabotage du travail par un chef de chantier sur le point d'être licencié ?

Afin de réaliser moi-même la pose des carrelages, l'architecte avait décidé de faire réaliser par le maçon une chape lissée à l'hélicoptère.
C'est après la pose des menuiseries extérieures que me sont apparues de manière criante les malfaçons de ce sol : sur la diagonale du futur séjour j'ai mesuré une différence de niveau de plus de six centimètres... L'architecte n'avait rien vu !
C'est cependant le maçon qui en a, seul, assumé la responsabilité et s'est chargé de la remise en état :

• En faisant appel à Arman, un sympathique et minutieux carreleur arménien très compétent qui, ici d'une chape de trois centimètres ou plus, là d'un ragréage renforcé ou plus mince, a rectifié la totalité de la surface de la maison.
  
  

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  En déposant et reposant les menuiseries extérieures qui devaient l'être, travail qui ne fut d'ailleurs pas exécuté de la meilleure des façons : à chacun son métier... On ne fait pas du jour au lendemain d'un maçon un menuisier !
  
  
• En rectifiant les linteaux devenus désormais trop bas.

Devant l'attitude du chef d'entreprise qui a toujours assumé, je serais tenté de faire preuve de beaucoup de mansuétude.